L'artiste nîmois et son ami, le journaliste Gil Lorfèvre, signaient le livre qu'ils ont conçu ensemble il y a deux ans : Jour de cendre. Le coup de pinceau de Tombereau et les mots sensibles de Lorfèvre. « Ce n'est pas un texte sur la tauromachie, précise ce dernier. C'est un texte sur le ressenti, l'état d'âme... » Avec cette contrainte fixée par l'auteur : « Ne pas utiliser les mots taureaux ni toreros... » Avant cela, les deux « copains » avaient déjà collaboré en associant photos de la plage du Grand Radeau et esquisses. Des oeuvres exposées pendant quinze jours à la cave Ô Pêcheur devin, sous les arches des Caladons.
M.A.
In Midi Libre du 25 septembre 2010
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