jeudi 16 décembre 2010

mardi 26 octobre 2010

Un trio d'artistes au Domaine de la Fosse

Michel Tombereau vient de prendre la gestion artistique de la très belle salle du domaine de la Fosse. Cela à la demande du propriétaire des lieux Alain Abecassis. Cette belle demeure transformé en gîtes possède une ancienne écurie , aux poutres apparentes soutenues par de massifs piliers en pierre, aménagée en lieu intime et convivial, et qui va désormais régulièrement accueillir des expositions d'artistes.
Pour cette première exposition, Michel Tombereau avait associé deux amis artistes. Gil Lorfèvre, homme de plume, mais aussi d'images, à qui il avait illustré une nouvelle « Jour de cendre » et François Martin, un homme d'images, et de plume, puisque hors de ses talents de photographe créateur, il est le rédacteur en chef de Midi Libre.
On retrouve donc les tableaux et kakémonos fleuris de Michel, mais on retrouve ses mêmes motifs, et d'autres en surimpression et accompagnements des photos virtuelles de François Martin. Ce dernier a une manière très personnelle de traiter la photographie. A partir du cliché de monuments, en l'occurrence ici la Maison Carrée, qu'il va traiter à l'aide de logiciels de retouche, colorisant et ajoutant d'autres éléments photographiques, il va donner au site une nouvelle réalité virtuelle offrant un point de vue inédit de ce monument familier aux nîmois. A la suite de quoi, les clichés sont retravaillés picturalement dans l'atelier de Tombereau qui y ajoute sa touche de ses sujets et motifs de couleur si personnels. François Martin confie aussi que le Pont du Gard sera le prochain qui passera dans son objectif et l'atelier du peintre.
Gil Lorfèvre travaille aussi l'image photographique, en combinant photo et collage. Sur ou autour de photos de bois flottés, souches et branches, Gil entoure ou surajoute motifs peints ou collages de textes, photos petits formats ou planches contacts, donnant une vie nouvelle à ces bois noueux , nus et torturés, qui se retrouvent dans un environnement tout aussi virtuel. Ici aussi, à coté d'une série d'œuvres personnelles, on retrouve un travail en binôme avec Michel Tombereau, où les photos noir et blanc des bois se retrouvent dans l'univers coloré du peintre.
Une très belle et originale exposition d'œuvres que l'on pourra admirer à la Fosse jusqu'au 15 novembre.
Puis, d'autres expositions seront proposées régulièrement, au rythme d'une par trimestre, dans ce lieu ou « j'avais déjà exposé avec Michel Gilles, et dont je reprends les rênes des expos » dixit Tombereau. Et d'annoncer déjà le prochain thème de circonstance à partir de fin novembre : »Le Noël des Estampes » avec un plëiade d'artistes comme Alechinsky, Arroyo, César, Combas, Dezeuze, Le Gac, Orlan Riopelle, Tapiès et bien d'autres.
Le domaine de La Fosse - route de Sylveréal (le premier mas à gauche au carrefour de la route des Iscles)- tel : 04 66 87 05 05

In Blog Saint-Gilles de Bernard Duvergé, le 25/10/2010

mercredi 29 septembre 2010

Le duo d'artistes a conquis les aficionados

Michel Tombereau soigne ses dédicaces, peaufine le geste, les dessins... Du coup, hier soir, ça se bousculait dans la librairie AB, les fans attendaient.
L'artiste nîmois et son ami, le journaliste Gil Lorfèvre, signaient le livre qu'ils ont conçu ensemble il y a deux ans : Jour de cendre. Le coup de pinceau de Tombereau et les mots sensibles de Lorfèvre. « Ce n'est pas un texte sur la tauromachie, précise ce dernier. C'est un texte sur le ressenti, l'état d'âme... » Avec cette contrainte fixée par l'auteur : « Ne pas utiliser les mots taureaux ni toreros... » Avant cela, les deux « copains » avaient déjà collaboré en associant photos de la plage du Grand Radeau et esquisses. Des oeuvres exposées pendant quinze jours à la cave Ô Pêcheur devin, sous les arches des Caladons.
M.A.

In Midi Libre du 25 septembre 2010
photo DR

Vernissages, Feria des Vendanges 2010

mercredi 15 septembre 2010

Regards croisés sur la cité nîmoise

Depuis leur première rencontre, ils ont maintes fois commenté l'actualité locale, et ri de ces petits riens qui font le charme de Nîmes et la particularité de ses habitants.
Cette ville, ils l'aiment, et ils ont décidé de croiser leurs regards sur des monuments qui font leur fierté et la nôtre.
François Martin, rédacteur en chef de Midi Libre, et Michel Tombereau signent ainsi une exposition à quatre mains, Nîmes, ni vue, ni connue. Des oeuvres où la photographie numérique vient chanter en duo avec la technique du peintre. Une démarche originale, un hommage sensible aussi à une histoire et une culture.

Visible à l'agence Midi Libre, 1 bis, avenue Jean-Jaurès. Jusqu'au 30 septembre.

In Midi Libre
Édition du mercredi 15 septembre 2010

lundi 13 septembre 2010

DEUX COMPLICES EXPOSENT À MIDI LIBRE

Ils se connaissent depuis un bail et les voilà associés sur les mêmes tableaux, pour une feria. A l'origine de cette idée, François Martin, rédacteur en chef de Midi Libre , a confié ses photographies numériques retouchées de Nîmes au peintre Michel Tombereau qui en a fait la matière de nouvelles toiles, découpant, recouvrant en partie, s'inspirant des clichés, d'un pinceau joyeux. Ainsi, le frontispice de la Maison carrée, les pavés du fort Vauban ou la porte Auguste sont déclinés sous différentes formes, mariés à des mots en transparence, à la silhouette d'un torero ou à des pochoirs de fleurs pastels. « Un délire complice » , souligne Michel Tombereau. Leur exposition intitulée Nîmes, ni vue, ni connue sera accrochée dans les locaux de Midi Libre, 1 bis, avenue Jean-Jaurès, jusqu'au 30 septembre.
Vernissage mardi prochain, à partir de 19 heures.
In Midi-Libre, Édition du dimanche 12 septembre 2010
photo Gilles LEFRANCQ

lundi 23 août 2010

Le peintre Michel Tombereau, les pieds dans l'eau à plage M

Michel Tombereau affectionne la station balnéaire graulenne et, il ne le cache pas, il aimerait y séjourner à demeure. Pour l'instant et depuis l'an dernier, il pose ses toiles à plage sud sur la partie aménagée du M, le bar restaurant glacier. Il joint ainsi l'utile à l'agréable, passant le clair de son temps dans ce lieu magique de tranquillité dont les initiés connaissent la bonne adresse.
« En bordure de plage, aux dires de l'artiste, les couchers de soleil, ici autour d'une bonne table, c'est le paradis graulen. » Là, ses toiles ne sont pas accrochées aux cimaises comme d'habitude mais suspendues au plafond, un peu comme les toiles sur les boulevards nîmois par temps de feria. Il a même dompté le vent, la brise de mer qui souffle l'après-midi, en lestant ses toiles, leur conférant
--> ainsi une belle assise au-dessus des têtes des clients.
Mais quand on connaît Michel Tombereau, on sait par avance qu'il ne restera pas là, les pieds dans le sable, même si le coin lui est particulièrement agréable.
Il prépare les mois à venir et il a déjà noué un nouveau contact avec Mme Challegard, adjointe au maire déléguée à la culture, pour retourner à l'occasion des Rencontres de mai à la villa Parry. « Encore un lieu magique » qu'il affectionne particulièrement. La salle du premier étage, avec son caractère intimiste et la magnifique vue qu'elle offre sur la baie, est pour lui l'endroit rêvé pour rencontrer son public fidèle et ravi.

in Midi Libre Édition du dimanche 22 août 2010

dimanche 18 juillet 2010

EXPOSITION À Saint-Gilles, un sacré anniversaire

LA MÉDIATHÈQUE DE SAINT-GILLES, dans le Gard, fête le peintre fétiche de la cité camarguaise, Michel Tombereau.
Jusqu'à la fin du mois de juillet, la commune gardoise abrite une rétrospective des cinquante ans de carrière de l'artiste nîmois. Outre les traditionnelles toiles, aux couleurs bigarrées et tauromachiques, le visiteur découvrira les premières oeuvres du peintre, et ses dernières, autour de la plage mythique des Saintes-Maries-de-la-Mer et du Grand Radeau. Médiathèque de Saint-Gilles, Av. Cazelles, 04 66 87 79 00

in Midi-Libre

jeudi 1 juillet 2010

Tombereau : 50 ans de peinture en 50 tableaux

Que les esprits qui se piquent d'intérêt pour l'art ne cherchent pas en ce peintre la caricature de l'artiste sombre, inconsolable et torturé. Car lorsque Michel Tombereau reçoit dans son atelier-véranda Nîmois, c'est plutôt un moment hors du temps.
Le passage dans l'antre de l'artiste où se mêlent peintures, pinceaux, toiles ou autres supports est d'ailleurs plutôt bref... C'est dans le jardin qu'il s'installe. D'actualité Michel Tombereau n'en manque jamais. Mais cette fois, la chose est d'importance. Ce sont "50 ans de peinture" qu'il entend fêter à la médiathèque Emile-Cazelles. Cinquante ans ? La question sur l'âge de l'artiste est naturelle... Mais c'est juste qu'il a commencé très jeune. Et puis aussi loin qu'il remonte, dans un vieux local de la rue Gambetta, aux Cabanettes, dans

--> des banques ou ailleurs, il a toujours exposé à Saint-Gilles, une ville à laquelle il est attaché. « J'ai fait au moins trente expos. Et il y a toujours eu du monde . » Du monde, il devrait y en avoir beaucoup pour ce vernissage inédit. Car si jusque-là, on retrouvait Michel Tombereau aux côtés de ses amis Michel Gilles, Paul Hermet ou José Pirès, « des copains », le temps d'une feria, soit trois ou quatre jours et toujours sur le thème de la tauromachie, l'exposition durera cette fois un mois. Et l'on pourra y découvrir une rétrospective de son travail, commencé alors qu'il était encore élève au lycée Daudet. « Mon premier tableau avait été mis en vitrine dans un magasin face à Daudet ; un jour je suis passé devant et il n'y était plus. Quelqu'un l'avait acheté ! » Paysages du Vaccarès ou de la Pointe Courte à Sète, scènes aux Jardins de la Fontaine, quand il y promenait ses filles ou fleurs, quand il eut décidé de revenir à ses premières amours de botanique, la médiathèque entière – et non plus la seule salle d'animation – montrera tout. Oeuvres tauromachiques comprises. « On pourra aussi voir mes cours de biologie des années 66-67 retravaillés sur différents supports... » , s'amuse encore Michel Tombereau qui, nul ne l'ignore plus, fut professeur de biologie au collège Jean-Vilar pendant 35 ans. Les produits dérivés comme l'emballage du riz Canavère, les étiquettes de bouteilles de vin ou d'huile d'olives, les parapluies, foulards, éventails ou cravates figureront en place dans les vitrines. Michel Tombereau est partout. Et demain soir, il sera physiquement, entraînant avec lui tous ses amis et aussi quelques générations d'anciens élèves. Place aux anecdotes, aux souvenirs et à un certain art... de vivre.

Véronique BENNOUAR-BONACCHI

in Midi Libre
photo DR

samedi 27 février 2010

Agenda

Du 8 au 21 mars : Mano a Mano PIRES - TOMBEREAU (NÎMES, La Coupole)

Du 1er avril au 30 mai : (ARLES, Mas Baracan)

Du 6 au 20 avril : (LA GRANDE MOTTE, Galerie Les Beaux Arts)

Du 1er au 15 mai : (LES SAINTES MARIES DE LA MER, Galerie Le Braco)

14 mai : Présentation Cuvée Féria 2010 (LE GRAU DU ROI, La Maison des Vins)

Du 18 au 30 mai : Exposition Féria 2010 (NÎMES)

Du 25 juin au 23 juillet : Rétrospective (SAINT-GILLES, Médiathèque)

Du 27 juillet au 15 août : (BRIOUDE, Galerie Mandarin)

mardi 5 janvier 2010